Eté
Des écoliers musèlent le haut ciel
Les rapaces happent des cumulus flamme
Les rivières demandent à boire à des vendeurs doccasion
Sur lasphalte fendillé
Des fillettes lavent
Une citerne dombre.
Apollinaire je révère
ton soleil ardente lyre
les rues inconnues sentassent dans la mémoire
naissantes horloges aux étoiles
un amour cherche une forme
des titubants saccrochent au refrain
les endettés nachètent pas dactions
les autres clochardent amoureusement
elle et lui sous lembrasement dun porche
laimera-t-elle demain
se tiendra -t-elle encore contre lui ?
Les amants ciselés des fontaines
Un soir séprennent
Du tonnerre ce ciné
Cette fille et ses seins quotidiens
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Gentille chamelière
Le genre humain nest pas tous les jours
en Guerre